Un vent de panique souffle sur les couloirs des Nations unies. Selon un mémo confidentiel qui a récemment fuité, l’ONU préparerait une vaste réorganisation de ses structures. Cette révélation, non encore officiellement confirmée, a semé l’inquiétude parmi les milliers de fonctionnaires basés à New York, Genève et dans d’autres bureaux internationaux.
Le jeudi 1er mai, un signe fort de cette inquiétude s’est matérialisé : environ 500 employés ont manifesté à Genève pour exprimer leur rejet de ce projet de réforme qu’ils jugent opaque et précipité. Des craintes sur d’éventuelles suppressions de postes, redéploiements massifs et révisions des conditions de travail alimentent la colère et le malaise dans les rangs du personnel onusien.
Aucune communication officielle n’a encore été faite par le Secrétariat général, mais plusieurs syndicats internes appellent à plus de transparence et au dialogue avec les agents. La communauté internationale reste en attente d’une clarification sur la nature et les objectifs de cette potentielle réorganisation.
